Pour qui ?
La psychothérapie s’adresse à tous patients, indépendamment de leurs âges, de leurs difficultés et de leurs gouts ou capacités perçues à la parole.
Le bon moment pour commencer un travail thérapeutique est celui ou le patient fait la démarche. L’ élément déclencheur d’un travail est personnel et « proteïforme »
- La goutte d’eau qui fait déborder
- Les douleurs physique, la maladie
- Un traumatisme
- Des difficultés ponctuelles ou récurrentes
- …
Lorsque le patient et le thérapeute commencent un travail, ils s’engagent mutuellement :
Le patient s’engage à venir au séance, à l’heure.
Le thérapeute s’engage à le recevoir, élaborer des réflexions, des recherches, un éventuel suivi avec un superviseur.
Le patient s’engage à venir au séance, à l’heure.
Le thérapeute s’engage à le recevoir, élaborer des réflexions, des recherches, un éventuel suivi avec un superviseur.
- En séance, le patient exprime ses préoccupations. Par l’expression (quelle soit verbale, corporelle, manuelle…) un dialogue se crée entre le conscient et l’inconscient du patient, guidé par le thérapeute.
- Encadré par le thérapeute, le patient change d’angle de vue sur ses difficultés, les comprend, les vit autrement, les dépasse.
- Progressivement, il puise à nouveau dans sa propre créativité, ses ressources pour identifier des alternatives, des solutions adaptées, les mettre en place, évoluer, se trouver et s’affirmer.
Un travail thérapeutique se termine quand le patient le souhaite. La fin d’un travail se prépare, que ce soit
- Après un bien être acquis/retrouvé et stabilisé, une confiance en soi et dans ses ressources retrouvées.
- Après des étapes de progression et l’envie de faire une pause
Cette question, comme toutes les autres questions relatives au cadre, est abordée librement avec le thérapeute.